Deuxième tour : un vote massif contre l'union des gauches !
Au lendemain du premier tour de ces élections régionales, il revient aux différents acteurs politiques de tirer des conclusions fermes et concrètes de ce scrutin.
Il faut d’une part se féliciter que ces élections soient les dernières de ce genre. Méconnaissance et éparpillement des compétences, mode de scrutin ingérable, défaut de transparence, trop grand éloignement entre les élus et les électeurs : les régions issues des différentes lois de décentralisation ont vécu. Ce qu’a bien souligné le record d’abstention de ce 14 mars. Il faut désormais veiller avec attention, dans le cadre de la prochaine réforme territoriale, à ce que les nouvelles collectivités soient conçues pour répondre avec réactivité au plus près des besoins des territoires.
Il faut constater d’autre part que le mouvement centriste, riche de ses désunions, a en grande partie disparu de la carte électorale faute d’une conception et d’une organisation cohérentes propres à susciter des alliances indispensables dans tout scrutin de ce genre. A cet égard, le score du Mouvement Démocrate reflète à la fois son degré d’impréparation et son absence de ligne directrice. En tant que Conseiller national du Mouvement, j’nous avons pu malheureusement partager ce constat avec des amis répartis dans de nombreuses régions de France.
Le MoDem a ainsi mené sur le plan national une campagne illisible et sur le plan local une campagne pathétique, que la mise à l’écart de la plupart de ses cadres et de ses élus a privée de toute ambition et de toute représentativité.
Aussi, considérant qu’à l’heure des choix, il revient aux responsables politiques de prendre leurs responsabilités, nous appellons résolument les élus, militants, sympathisants du courant centriste à s’opposer à la gestion autocratique, sectaire et passéiste de René Souchon. Et, en conséquence, à apporter massivement leur soutien aux listes de droite et du centre-droit en Auvergne, et tout particulièrement à celle emmenée par Daniel Dugléry dans l’Allier.
Pierre-Antoine Légoutière, Adjoint au maire de Montluçon, Conseiller national du Mouvement Démocrate, Membre du bureau national de la Fédération des élus démocrates.
Il faut d’une part se féliciter que ces élections soient les dernières de ce genre. Méconnaissance et éparpillement des compétences, mode de scrutin ingérable, défaut de transparence, trop grand éloignement entre les élus et les électeurs : les régions issues des différentes lois de décentralisation ont vécu. Ce qu’a bien souligné le record d’abstention de ce 14 mars. Il faut désormais veiller avec attention, dans le cadre de la prochaine réforme territoriale, à ce que les nouvelles collectivités soient conçues pour répondre avec réactivité au plus près des besoins des territoires.
Il faut constater d’autre part que le mouvement centriste, riche de ses désunions, a en grande partie disparu de la carte électorale faute d’une conception et d’une organisation cohérentes propres à susciter des alliances indispensables dans tout scrutin de ce genre. A cet égard, le score du Mouvement Démocrate reflète à la fois son degré d’impréparation et son absence de ligne directrice. En tant que Conseiller national du Mouvement, j’nous avons pu malheureusement partager ce constat avec des amis répartis dans de nombreuses régions de France.
Le MoDem a ainsi mené sur le plan national une campagne illisible et sur le plan local une campagne pathétique, que la mise à l’écart de la plupart de ses cadres et de ses élus a privée de toute ambition et de toute représentativité.
Aussi, considérant qu’à l’heure des choix, il revient aux responsables politiques de prendre leurs responsabilités, nous appellons résolument les élus, militants, sympathisants du courant centriste à s’opposer à la gestion autocratique, sectaire et passéiste de René Souchon. Et, en conséquence, à apporter massivement leur soutien aux listes de droite et du centre-droit en Auvergne, et tout particulièrement à celle emmenée par Daniel Dugléry dans l’Allier.
Pierre-Antoine Légoutière, Adjoint au maire de Montluçon, Conseiller national du Mouvement Démocrate, Membre du bureau national de la Fédération des élus démocrates.